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Le Petit au turbo : les nouveaux astrographes rapides d’Omegon

24.03.2021, Marcus Schenk

Les nouveaux astrographes d’Omegon  sont des télescopes spéciaux destinés aux appareils photo plein format et offrent une clarté élevée. Grâce au rapport d’ouverture incroyablement rapide de f/2,8 à f/3,2, vous pouvez prendre des astrophotos avec des temps d’exposition extrêmement courts.

Pole position sur votre monture

Ce télescope n’a pas besoin de se mettre en température, il est immédiatement paré à prendre des astrophotos rapides. Les astrographes de 6 et 8 pouces avec f/2,8 et f/3,2 sont quelque 3 fois plus lumineux qu’un télescope Newton standard avec f/5. Parallèlement, faites ainsi des astrophotos bien plus rapidement et minimisez les erreurs de suivi.

Courte focale, grand champ

L’astrophotographie à grand champ est en plein essor et, grâce aux montures comme la MiniTrack, compte, une communauté de fans très importante. Cependant, avec ce télescope, vous aller entrer encore plus loin dans les détails, photographier des nébuleuses étendues et prendre de fantastiques photos à grand champ.

Plein pot pour le plein format

Avec un porte-oculaire 3 pouces, un correcteur intégré de 3 pouces et un miroir secondaire de 90 mm, l’astrographe Omegon a une ouverture dégagée de 44 mm, il est parfait pour l’utilisation d’un appareil photo plein format à haute résolution. Sa distance focale de 55 mm, ne nécessite pas de bagues additionnelles, avec les appareils photo reflex. Le tube optique Pro Astrograph N 200/640 d’Omegon, avec un capteur Full-Frame classique, permet de faire des images d’une diagonale de 3,8 degrés environ. De ce fait, la nébuleuse Californie dans Persée, la galaxie d’Andromède ou de la région de Cirrus deviennent de merveilleuses cibles.

Tube noble en carbone

Le nouvel astrographe n’a pas uniquement l’air élégant et d’excellente qualité, il l’est effectivement. Le tube en carbone vous offre l’avantage supplémentaire d’une mise au point bien stable, car ce matériau est particulièrement stable en température.

Les modèles sont disponibles dans les versions suivantes :
Tube optique Pro Astrograph N 150/420 d’Omegon
 Tube optique Pro Astrograph N 200/640 d’Omegon

Voulez-vous aussi innover en matière d’astrophotographie ? Faites, dans ce cas-là, la connaissance plus en détail des Astrographes Omegon.

MaxFR d’Astronomik : des filtres à bande étroite pour optiques rapides

12.03.2021, Stefan Taube

Les nouveaux filtres de la série MaxFR sont optimisés pour l’astrophotographie avec des télescopes très rapides, tels que les optiques Celestron-RASA ou les astrographes Epsilon de Takahashi.

Astronomik propose ces filtres pour les trois raies les plus importantes, à savoir OIII, H-alpha et SII avec, à chaque fois, des bandes passantes à mi-hauteur (FWHM) de 12 et 6 nanomètres.

Astronomik Filter H-alpha 12nm

Un filtre H-alpha de la série MaxFR en version Clip-Filtre pour les appareils photo Canon

Si vous faites vos observations sous un ciel pollué par la lumière, l’astrophotographie avec des filtres à bandes étroites est le meilleur moyen pour réussir de superbes images. En règle générale, un filtre H-alpha est le premier achat judicieux : avec ce filtre, vous pourrez facilement créer des images parfaitement détaillées même par pleine Lune ou sous un ciel fortement pollué ! C’est aussi le bon filtre pour toutes les nébuleuses en émission.

Le filtre OIII accroît énormément vos possibilités, car grâce à lui, vous pouvez également « croquer » en image toutes les structures vertes/bleues, et ce, en excellents détails et contraste. Les nébuleuses planétaires et les pouponnières d’étoiles sont des cibles privilégiées !

Avec le filtre SII, votre jeu de filtres est complet, et vous pouvez, avec les trois canaux, créer les mêmes images en couleur que le télescope spatial Hubble !

Quelle est la bonne bande passante à mi-hauteur ? En trois mots, l’utilisation de filtres de 12 nanomètres est idéale pour les appareils photo DSLR et toutes les caméras à faible courant d’obscurité. Pour ces équipements, une suppression additionnelle de l’arrière-plan du ciel par le choix d’une bande passante à mi-hauteur plus petite n’ajoutera pas plus de détails. Les filtres de 6 nanomètres sont le bon choix dans les endroits où la pollution lumineuse est forte et pour les caméras à courant d’obscurité extrêmement faible, les caméras dotées d’un très bon refroidissement par exemple. C’est en particulier dans les régions de la Voie Lactée où il y a beaucoup d’étoiles, que les filtres de 6 nm permettent d’afficher des objets à faible luminosité avec un contraste élevé en les empêchant de se perdre dans le foisonnement d’étoiles.

Vous pouvez obtenir ici un aperçu de tous les filtres de la série.

Explore Scientific : lunette guide et chercheur en un seul et même appareil

11.03.2021, Stefan Taube

Les petites lunettes pouvant être montées sur le télescope remplissent deux missions : en tant que chercheur, elles aident l’observateur à se retrouver dans le ciel, et en tant que lunette de guidage, elles assurent le suivi exact de la monture astronomique.

Explore Scientific Guidescope 8x50 Helikal

Lunette guide Explore Scientific 8×50 hélicoïdale

Le fabricant Explore Scientific présente deux modèles, qui répondent parfaitement à ces deux exigences :

Les deux optiques sont équipées d’un oculaire amovible. Oculaire enlevé, elles peuvent faire office de lunette guide avec mise au point hélicoïdale. Elles acceptent les caméras de guidage au coulant de 1,25“. Grâce aux colliers, la lunette peut être pointée sur une étoile de référence. La caméra permet de ne jamais la perdre des yeux et corrige les plus infimes erreurs de la monture par des impulsions de commande.

Avec l’oculaire, les petits télescopes sont transformés en chercheurs de haute qualité dont la qualité d’image est bien supérieure aux chercheurs standards. L’oculaire est muni d’un réticule lumineux.

Abnehmbare Okulareinheit

Oculaire démontable

Grâce à la solution pratique d’Explore Scientific, une seule lunette suffit pour de nombreuses utilisations.

En route vers de nouveaux « objectifs » : maintenant, une sélection encore plus large d’Apos Omegon Pro

02.03.2021, Marcus Schenk

Le segment prémuim des Apos Omegon Pro s’est encore étoffé. De nouvelles lunettes élégantes et puissantes, bien supérieures aux lunettes ordinaires, ont fait leur entrée.

La série des Apos Omegon Pro est destinée aux astrophotographes ambitieux qui, pendant leur action nocturne sous le ciel étoilé, veulent tirer le maximum d’une lunette. Des photos parfaites et une image impeccablement nette sur l’ensemble du champ : ce sont là des souhaits qui, avec ces instruments, deviennent réalité. A cette fin, les instruments ont été équipés de lentilles ED, de correcteurs intégrés, de tubes usinés CNC et de porte-oculaires de grande taille. Tout pour une netteté d’image impressionnante.

En fonction de vos préférences et de votre monture, il vous suffit de choisir entre différentes variantes : de l’instrument maniable et adapté au voyage de 61 mm au « vaisseau amiral » de 140 mm. Vous pouvez également choisir entre les Apos doublet, triplet, quadruplet et quintuplet, c’est-à-dire des instruments à deux, trois, quatre, voire cinq lentilles.

Pour de nombreux instruments, vous pouvez également, dans la foulée, commander votre propre rapport de test produit individuel. C’est un label de qualité pour votre télescope et cela en augmente aussi, et ce de façon permanente, la valeur.

Galaxie d’Andromède

  1. Apo 61/335 ED Doublet OTA #65141

Un nain mobile qui a tout pour lui : avec ses 61 mm, cet Apo est vraiment petit, mais il dispose pas moins d’un porte-oculaire 2,5″ de haute qualité avec un démultiplicateur de 1:10. Ici déjà, tous les indicateurs pointent vers une spécification « Prémium ».

  1. Apo 61/274 ED Doublet OTA #69472

Dans bien des cas, une optique de grande taille n’est pas le facteur décisif, car rien ne remplace un ciel sombre et limpide. Mais, avec de grandes optiques, ce dernier est souvent inaccessible. C’est pourquoi le 61/274 ED Doublet est fait pour voyager. Mais cette optique fait aussi office de rêve en tant que lunette pour l’imagerie à grand champ.

  1. APO 72/400 Quintuplet ED OTA #65156

Une image parfaite, sans aberration chromatique et avec des étoiles parfaitement nettes jusque dans les coins : le 72/400 Quintuplet y parvient facilement. En effet, avec un total de cinq lentilles, dont deux ED, il offre un contraste exceptionnel avec un champ d’image entièrement corrigé et totalement aplani.

  1. APO 76/342 Triplet ED OTA #69473

Peu importe où vous emmènent vos voyages : cet Apo pourra vous accompagner partout. Comme elle ne pèse que 4 kilos et ne mesure que 333 millimètres, vous pouvez également utiliser cette lunette avec des montures de voyage et autres mini-montures. Pour les images et les cibles à grand champ, telle que, par exemple, la nébuleuse d’Andromède, cette lunette est un véritable maître dans son art. Mais également en tant que téléobjectif pour la photographie de la nature, le 76mm Triplet constitue un excellent choix.

  1. APO 76/418 Triplet ED OTA #65142

Comme l’Apo précédent, cet instrument fournit des images impressionnantes, mais avec une distance focale légèrement plus longue. Les deux instruments de 76 mm sont équipés d’un porte-oculaire de 3″ à crémaillère avec un démultiplicateur de 1:10.

  1. APO 80/500 Triplet ED OTA #60856

Un Apo avec une image claire et parfaitement pure en couleur, même à très fort grossissement. Le porte-oculaire, conçu de main de maître, est, avec ses 2,5″, plus grand que sur la plupart des télescopes de 80 mm. L’avantage : une luminosité si élevée que vous pouvez en tirer profit, même avec un appareil photo plein format.

  1. APO 94/517 Triplet ED OTA #65147

Avec une ouverture de 94 mm, de nombreuses cibles astrophotographiques se trouvent à portée de main. Le Triplet 94/517 se caractérise par une conception superbe, intégrant, à l’intérieur du concept du triplet, deux éléments ED. Cela permet d’obtenir une image aux couleurs pures et vous aurez une image claire dans le cas d’étoiles brillantes ou de la périphérie de la Lune. Cette lunette tient aussi la dragée haute pour l’observation visuelle à fort grossissement. Un bon tuyau, en tout cas, pour les amoureux de l’Apo.

  1. APO 100/580 Quadruplet ED OTA #60854

Un Apo quadruplet comme celui-ci comporte quatre éléments de lentilles. Il offre une imagerie fabuleuse tout en conservant un champ de vision plat corrigé. Cela veut dire : qu’il n’est plus nécessaire d’adapter des correcteurs, car l’optique délivre déjà des étoiles nettes jusqu’au bord. D’autre part, le porte-oculaire 3,5″ vous offre de nombreuses possibilités pour connecter d’autres accessoires. Cet Apo illumine aussi complètement le champ des appareils photo plein format.

  1. APO 121/678 Quintruplet ED OTA #65143

Cinq lentilles pour des images époustouflantes : le 121/678 est non seulement rapide, mais il offre également des performances optiques exceptionnelles. Qu’est-ce que cela signifie ? Un objectif Apo triplet pour une imagerie couleur propre et un aplanisseur supplémentaire à deux lentilles pour un champ parfaitement mis à plat. Avec un éclairage de champ de 60 mm, ce télescope est parfait pour les très grands capteurs. Un énorme tirage de 145 mm et un porte-oculaire de 4″ permettent le raccordement d’appareils photo lourds et de divers accessoires.

  1. APO 140/910 Triplet ED OTA #65144

Un Apo triplet avec deux lentilles ED à l’avant et à l’arrière de l’objectif permet une correction des couleurs exceptionnellement bonne. Avec un porte-oculaire R&P de 4″ et un cercle d’image de 44 mm, l’instrument convient également aux appareils photo plein format. Un instrument de classe pour tous ceux pour qui la luminosité est un aspect majeur.

Vous êtes astrophotographe et vous cherchez un instrument adapté ? Si oui, jetez donc un coup d’œil à ces Apos.

Infographie : les faits astro marquants du printemps 2021

26.02.2021, Marcus Schenk

Un détour par les Pléiades, une planète mineure qui brille de mille éclats et Mercure parfaitement visible le soir : le printemps offre son lot de réjouissances astronomiques à ne manquer sous aucun prétexte !

La carte du ciel des faits astro marquants du printemps 2021 vous offre un aperçu des rendez-vous célestes incontournables de ces trois prochains mois.

Nous vous souhaitons beaucoup de plaisir lors de vos observations.

Mars

4 mars : Mars rencontre les Pléiades (porte dorée de l’écliptique)

Mars était en opposition l’année dernière et pouvait être observée dans le ciel du soir. Elle continue de briller en soirée, et disparaît progressivement du paysage avec les constellations d’hiver. Vers le 4 mars, la planète rouge rencontre les Pléiades à une distance d’environ 2 degrés. A cette occasion, le Dieu de la guerre franchit la porte dorée de l’écliptique. C’est le nom donné à la zone située entre les Hyades et les Pléiades sur laquelle s’étend l’écliptique.

4 mars : Vesta en opposition

Vesta fait non seulement référence à une déesse de la mythologie romaine mais il s’agit également du nom d’une planète mineure bien connue : avec un diamètre de 520 kilomètres, c’est la deuxième plus grande de la ceinture d’astéroïdes. Lors d’une opposition, on peut parfois l’observer à l’œil nu. Actuellement, elle devrait être tout juste visible sans accessoire avec magnitude de 5,8-6. Mais à travers des jumelles et un télescope, on peut facilement l’apercevoir. Et si vous partiez à la recherche d’une planète mineure ? Une soirée d’observation spéciale vous attend. Vous pouvez aussi facilement trouver Vesta à l’arrière de la constellation du Lion. Orientez-vous à un degré seulement au nord-est de l’étoile Thêta Leonis (la patte arrière du Lion) et elle se dévoilera sous ses plus beaux atours.

5 mars : Mercure rencontre Jupiter

Une rencontre très discrète : Mercure et Jupiter se croisent, mais il n’est pas aisé de les observer. Il n’est pas encore 6 heures lorsqu’elles apparaissent dans le ciel et le Soleil ne se trouve qu’à 8 degrés sous l’horizon. Le temps est donc compté, et l’horizon doit être parfaitement dégagé lorsque les deux planètes se croisent à moins de 0,3 degré.

10 mars : La Lune rencontre Jupiter et Saturne

Les lève-tôt vont être contents : peu avant le lever du soleil, plusieurs corps célestes défileront au-dessus de l’horizon sud-est. Vous pourrez découvrir Mercure, Jupiter et Saturne formant une sorte de collier de perles quasi alignées. Un fin croissant de Lune complète ce rendez-vous planétaire et fait du matin un magnifique moment astronomique.

16 mars : La Lune rencontre Uranus

Le soir, nous pourrons apercevoir le croissant ascendant de la Lune entre les constellations de la Baleine et des Poissons. Ceux qui le souhaitent peuvent directement faire un détour par la lointaine planète Uranus à l’aide du télescope. En effet à cette date, celle-ci est située à seulement 6 degrés au-dessus du satellite naturel de la Terre. Uranus vaut toujours le coup d’œil, car elle ne fait pas partie des objets du Ciel « classiques », tels que Saturne ou Jupiter. Cette planète lointaine n’apparaît que sous forme d’un petit disque, et ce même au télescope. Mais en regardant de plus près, vous verrez qu’elle diffère vraiment d’une étoile. Néanmoins, il vaut mieux identifier sa position exacte sur une carte des étoiles avant de l’observer.

18 mars : Mars rencontre υ Tauri

Mars a franchi la porte dorée de l’écliptique il y a quelques jours, en passant par les Pléiades. Aujourd’hui, un bref passage par υ Tauri dans la constellation du Taureau, une étoile membre des Hyades. Il s’agit d’une variable pulsante dont la luminosité change en l’espace de quelques jours. Si vous parcourez cette zone du ciel avec des jumelles, vous remarquerez de multiples étoiles formant un motif. C’est ce qu’on appelle un astérisme, c’est-à-dire un amas d’étoiles voisines qui dessinent une figure. Dans notre cas, il s’agit du Davis’ dog ou chien de Davis, avec un museau, des yeux, des oreilles, des pattes et une queue. Certains y voient plutôt un renard. Et vous ?

Avril

1er avril : Antares rencontre la Lune

Dans la nuit du 1er au 2 avril, la Lune s’approche d’Antarès, l’étoile principale du Scorpion. C’est une supergéante rouge qui brille dans le ciel nocturne. Avec un diamètre 700 fois supérieur à celui du Soleil, elle serait capable d’engloutir certaines planètes, dont la Terre, si elle se trouvait à la position de notre Soleil.

6 avril : La Lune rencontre Saturne

Dans le ciel du matin, nous pouvons distinguer les signes avant-coureurs de l’été : les constellations du Sagittaire et surtout du Capricorne (ou bouquetin). Dans le royaume de cette chèvre alpine, la Lune et Saturne se rencontrent aujourd’hui à une distance de 5,3 degrés.

15 avril : La Lune franchit la porte dorée de l’écliptique

Trois jours après la nouvelle lune, le délicat croissant de Lune surplombe à nouveau l’horizon en soirée à l’ouest. Notre satellite atteint la porte dorée de l’écliptique, flanquée des célèbres amas d’étoiles des Hyades et des Pléiades.

17 avril : La Lune rencontre Mars

La Lune et Mars se croisent en soirée à une distance d’environ 2,5 degrés. La planète rouge est toujours dans la constellation du Taureau, mais elle passe dans celle des Gémeaux le 24 avril.

19 avril : La Lune rencontre Pollux

La lune s’approche de l’étoile Pollux dans la constellation des Gémeaux à 3,3 degrés. L’occultation de l’étoile Kappa Geminorum par la Lune est cependant l’événement le plus intéressant de la soirée. Elle se montre de son côté non éclairé et éclipse l’étoile de magnitude 3,5 pendant un peu plus d’une heure. L’occultation ne peut être aperçue que dans certaines régions où il fait assez sombre. En Allemagne, elle commence vers 20h21.

26 avril : Vénus rencontre Mercure

Un rendez-vous réservé aux observateurs avertis : car Vénus et Mercure ne sont pas encore visibles dans le ciel du soir. Pourtant, au crépuscule, les deux planètes intérieures se rapprochent et se croisent à une distance de 1,3 degrés. A 20h45 CEST, le Soleil est à 4 degrés sous l’horizon et les planètes se situent juste au-dessus. C’est pourquoi on peut les entrevoir avec de grandes jumelles, mais il est difficile de les observer en détail.

Mai

4 mai : La Lune rencontre Saturne

Le Capricorne fait partie des constellations estivales et surplombe déjà l’horizon dans le ciel du matin. La planète Saturne séjournera ces deux prochaines années dans cette constellation avant de mettre le cap sur le Verseau. Ce matin-là, le Seigneur des Anneaux reçoit la visite de la Lune.

5 mai : La Lune rencontre Jupiter

Hier, la Lune rendait visite à Saturne, aujourd’hui elle se tourne vers Jupiter. Cette dernière se trouve à proximité, suite à la rencontre très rapprochée de Jupiter et Saturne en décembre dernier.

10 mai : Mercure devient visible dans ciel du soir

Ce mois-ci, Mercure bien visible en soirée – c’est la seule planète qui soit bien observable cette année. A partir du 10 mai, n’importe qui peut l’admirer au-dessus de l’horizon à l’ouest. Vers 21h30, il fait assez sombre pour la voir briller dans le ciel sans difficulté. Vénus est sur le point de se coucher, mais Mercure se situe à environ 8,5 degrés d’altitude. En d’autres termes, si l’horizon est dégagé, vous disposez d’une heure avant qu’elle ne disparaisse dans la brume lointaine et se couche. La petite planète gravit l’échelle céleste tout au long mois de mai, s’élevant chaque jour un peu plus haut. Le 18 mai, elle ne disparaît qu’à 22h53 CEST du ciel, mais son coucher a lieu de plus en plus tôt les jours suivants.

13 mai : La lune rencontre Mercure

L’une des plus belles rencontres dans le ciel du soir : aujourd’hui, peu après le coucher du soleil, le croissant de lune illuminé sur 3,5 % de sa surface rend visite à Mercure et ne se trouve qu’à 2 degrés au sud. Plus bas, vous pouvez observer Vénus.

15 mai : La Lune rencontre Mars

À l’extrême Occident, le croissant de lune encore mince rencontre Mars dans la constellation des Gémeaux. Rappelons que l’année dernière, la NASA avait lancé un robot sur Mars dans le cadre d’une nouvelle mission spatiale. « Mars 2020 » a ainsi fait atterrir une astromobile sur Mars le 18 février à l’aide d’un petit vaisseau spatial. A son bord était installé le tout premier hélicoptère martien. Propulsé par des pales de rotor, le drone s’élancera dans la faible atmosphère de Mars et permettra de l’explorer à basse altitude.

17 mai : Elongation maximale de Mercure à l’est

A cette date, Mercure atteint sa plus grande élongation à l’est. Sa distance angulaire par rapport au Soleil est maximale et sa position en hauteur au-dessus de l’horizon permet de la distinguer facilement. Nous disposons de plus d’une heure pour la contempler avant qu’elle ne se couche. Si vous voulez l’observer avec un télescope, c’est aussi le bon moment car la planète se dégage des épaisses couches atmosphériques.

17 mai : La Lune rencontre la Ruche

Elle est souvent appelée tout simplement M44 ou Praesepe, mais elle porte également le joli nom : amas de la Ruche. Telle une ruche lumineuse, elle abrite près de 300 étoiles défilant au sein d’un amas ouvert. La Lune s’approche de la Ruche à environ 4 degrés. Autrement dit, vous pouvez observer ces deux cibles célestes simultanément dans vos jumelles.

19 mai : La Lune rencontre Régulus

Ce soir, la Lune ascendante rencontre Regulus, la principale étoile de la constellation du Lion, également appelée « Petit Roi ». Sa position est proche de l’écliptique, ce qui signifie qu’il peut y avoir des occultations entre la Lune et Regulus.

28 mai : Mercure rencontre Vénus

Ce mois-ci, nous avons bénéficié de la meilleure visibilité de Mercure qui se trouvait très haut au-dessus de l’horizon. Entre-temps, elle a perdu de l’altitude et s’est rapprochée de Vénus, située plus bas dans le ciel. Les deux planètes défilent l’une à côté de l’autre et se rapprocheront le 28 jusqu’à 0,5 degré.

31 mai : La Lune rencontre Saturne

Pendant la deuxième moitié de la nuit, vous pouvez observer la Lune et Saturne dans la constellation du Capricorne en direction du sud. Jusqu’au lever du jour, la constellation prend de l’altitude en s’approchant du méridien, le point le plus élevé du ciel.

Ensembles de grosses jumelles Premium avec monture, colonne centrale de réglage et trépied

12.02.2021, Marcus Schenk

Mille-et-Une-Nuits. Non, nous ne parlons pas, ici, de nuits en Orient, mais de nuits sous le ciel étoilé et, plus précisément, du choix de jumelles adaptées à vos observations. Un choix que vous pouvez faire parmi à peu près … mille-et-une-jumelles !

Quelles jumelles vont avec quel trépied ? Et que trouve-t-on entre jumelles et trépied ? De la même façon que l’optique d’un télescope, des jumelles astronomiques, seules, ne vous permettrait pas d’atteindre votre objectif, c’est comme si vous aviez un cheval à trois pattes. Vous avez également besoin d’une monture et d’un trépied. Mais plus les jumelles sont lourdes, plus il est difficile de prendre la bonne décision.

Nous avons constitué pour vous six ensembles différents composés de grosses jumelles Brightsky d’Omegon, de la massive monture à fourche Neptune et d’un trépied en carbone d’une grande capacité de charge. S’il est des jumelles avec trépied qui auraient mérité l’appellation « Solides comme un roc », ce sont bien celles-ci.

Pourquoi les grosses jumelles Brightsky sont le choix qui s’impose pour les astronomes

Les grosses jumelles Brightsky existent avec trois diamètres d’objectifs différents, 70 mm, 80 mm et 100 mm, et avec une vision à 45 ou 90 degrés. Les lentilles traitées, dans un robuste boîtier en magnésium, vous offrent des vues nettes lorsque vous observez le ciel ou la nature, à longue distance. Pour que vos jumelles vous accompagnent encore, bien des années après, dans chacune de vos excursions, elles sont par ailleurs étanches à l’eau et remplies d’azote.

Nous livrons les grosses jumelles Brightsky avec deux oculaires grand angle flatfield de 18 mm, au coulant de 1,25″, pour de fantastiques observations. De la même façon que pour un télescope, vous pouvez également utiliser d’autres oculaires astronomiques.

Das Brightsky Fernglas komplett im Set mit Gabel und Stativ

Ensemble complet comprenant : jumelles Brightsky, fourche et trépied

Neptune : la meilleure monture à fourche de la galaxie ?

La monture à fourche Premium Neptune est un nouveau développement à l’attention des astronomes exigeants qui utilisent des jumelles. Si vous êtes définitivement fatigué des instruments qui vibrent, elle vous est donc destinée. D’une exécution massive, cette fourche accepte les grosses jumelles jusqu’à 290 mm de large et d’une masse de 9 kg. Les profilés robustes et les gros paliers en téflon assurent un mouvement souple dans les deux axes et une navigation facile dans le ciel. Lors de la fabrication, nous veillons tout particulièrement à la qualité et c’est la raison pour laquelle nous faisons fabriquer cette fourche exclusivement au Portugal.

Trépied en carbone haut de gamme – avec colonne à manivelle

Pour une bonne assise, l’ensemble jumelles et fourche repose sur un trépied en carbone constitué de jambes de 40 mm. Ultraléger de conception, mais infiniment robuste : ce trépied supporte ainsi jusqu’à 50 kilogrammes. Il peut être déployé jusqu’à une hauteur de 1,9 m et il comporte, en plus, une colonne à manivelle. Vous pouvez ainsi positionner vos grosses jumelles très facilement, rapidement et de façon parfaite, pour tous les observateurs.

 

À qui les ensembles s’adressent-ils ? 

– Aux astronomes amateurs, qui veulent avoir enfin de grosses jumelles qui leur donneront satisfaction pendant de longues années

– Aux observateurs, qui ne veulent pas chercher plus longtemps et qui ne veulent plus faire de compromis

– Aux amateurs d’astronomie, qui veulent observer le ciel avec intensité et avec leurs deux yeux

Composition de l’ensemble :

– Grosses jumelles Brightsky avec diamètre d’objectif 70, 80 ou 100 mm et deux oculaires flatfield de 18 mm

– Monture à fourche Neptune pour grosses jumelles

– Trépied en carbone de 40 mm d’Omegon, avec colonne à manivelle

Ces ensembles de grosses jumelles Premium, avec monture et trépied, vous montrent tout le plaisir que vous pouvez prendre à l’astronomie par l’utilisation de jumelles. Mais la meilleure chose à faire pour vous, c’est de ne plus tarder et d’aller voir les jumelles avec monture à fourche !

Nouveauté : caméra d’autoguidage autonome StarAid Revolution

18.01.2021, Stefan Taube

L‘autoguidage correspond au contrôle automatique du suivi d’une monture astronomique. Ce contrôle est nécessaire dans le cadre de l’astrophotographie, car il permet de maintenir avec précision l’objet pointé au centre du capteur de l’appareil photo.

Il existe une multitude de caméras d’autoguidage, mais elles nécessitent un ordinateur portable, un PC et un logiciel adéquat. Seul un modèle autonome fonctionne de manière entièrement indépendante. La dernière innovation dans cette catégorie est la caméra d’autoguidage StarAid Revolution. Avec elle, le contrôle du suivi devient un jeu d’enfant !

StarAid-Kamera-Standalone-Autoguider-Revolution-Revision-B

Caméra d’autoguidage autonome StarAid Revolution Revision B

Plug & Guide : branchez votre caméra sur la lunette de guidage, connectez-la au port d’autoguidage de votre monture et vous voilà prêt ! Après environ 30 secondes, la caméra se met à fonctionner et envoie des signaux de correction aux moteurs de votre monture.

StarAid Revolution a d’autres cordes à son arc : par exemple l’alignement polaire, c’est-à-dire l’alignement précis de votre monture sur l’axe de rotation de la Terre. Il est même possible de piloter la caméra astronomique. Une application est disponible pour ces options supplémentaires et pour contrôler le suivi. StarAid Revolution émet son propre WiFi afin que vous puissiez connecter votre smartphone à l’autoguidage.

Révolution est un mot fort qui va comme un gant à cette innovation !

Déclarez la guerre aux virus et aux bactéries !

12.01.2021, Patric Leibig

La saison froide dans laquelle nous nous trouvons actuellement nous amène à passer plus de temps à l’intérieur, ce qui augmente le risque de contracter une maladie virale. Nous perdons très rapidement notre capacité à évaluer la qualité de l’air car notre odorat s’adapte aux mauvaises odeurs. Il est donc essentiel d’agir contre ce phénomène.

Réduisez significativement le risque d’infection par le SRAS-CoV-2 / Covid19 (virus Corona) et autres maladies virales grâce à l’utilisation de filtres à air ambiant dotés de systèmes de filtration Hepa H13 et d’appareils à mesurer le CO2.

Les filtres à air réduisent la quantité d’aérosols de l’air ambiant.

Le SRAS-CoV-2 / Covid19 et autres maladies des voies respiratoires inférieures se transmettent, entre autres, par les gouttelettes des aérosols. Les purificateurs d’air équipés de filtres HEPA de classe H13 peuvent filtrer précisément ces minuscules particules présentes dans l’air ambiant et ainsi réduire considérablement le risque d’infection. Une aération régulière associée à un purificateur d’air équipé de filtres HEPA de classe H13 « High Efficiency Particulate Air Filter » est la meilleure précaution pour réduire le risque d’infection dans les pièces fermées. Les filtres HEPA H13 captent les minuscules aérosols (<5µm) de l’air et améliorent la qualité de l’air. L’aération est contrôlée par l’utilisation d’appareils de mesure du CO2.

Filtres à air

On estime que le risque d’infection par le SRAS-CoV-2 / Covid19 (virus Corona) des personnes présentes dans une pièce dans laquelle se trouve un superinfecteur peut être réduit par six, grâce à l’utilisation de filtres à air dotés de la technologie filtrante HEPA H13.

Contrôler et améliorez la qualité de l’air de votre bureau, appartement, de la salle de classe etc. en prenant les mesures suivantes :

Calcul de la puissance filtrante en m³/h pour les dimensions de votre pièce :

Le filtre à air ambiant doit être capable de filtrer le contenu de votre pièce au moins 2x par heure, afin de réduire considérablement la concentration des aérosols et particules. Il est très simple de calculer la puissance filtrante dont vous avez besoin :

Pour calculer le nombre de mètres cubes de votre pièce, c’est-à-dire le volume d’air, prenez la longueur x la largeur x la hauteur de la pièce. Multipliez ce résultat par 2 et vous avez saurez quelle doit être la puissance de votre filtre en m³/h pour votre pièce.

Exemple :

Longueur : 5 m, Largeur : 4 m, Hauteur : 2,5 m

5 m x 4 m x 2,5 m = 50 m³

50 m³ x 2 (par h) = 100 m³/h

Pour les salles de classe / écoles ou autres habitations, dans lesquelles se trouvent plusieurs personnes, nous vous recommandons un purificateur capable de filtrer 5 à 6 fois le volume de la pièce.

Exemple :

Pour une pièce d’un volume de 50 m³, la puissance du purificateur devrait être de 300 m³/h minimum.

Trépieds en carbone Omegon : l’alternative pour instruments lourds

07.01.2021, Marcus Schenk

Vous cherchez un trépied capable de supporter vos grosses jumelles ou votre équipement photographique lourd et d’assurer leur stabilité ? Venons-en à l’essentiel : de nombreux trépieds en aluminium ont des problèmes pour remplir cette mission. Qui serait disposé à attendre trois heures avant que les jumelles se stabilisent et fournissent enfin une image stable ?

Pour résoudre ces problèmes, Omegon propose désormais deux nouveaux trépieds qui sont de véritables professionnels pour les instruments lourds. Il s’agit des trépieds Omegon ProCarbon 32 et Omegon ProCarbon 40.

Stabiles Carbonstativ

Le nouveau trépied ultrastable Omegon Pro 40mm Carbon

Les deux trépieds remplissent pleinement leur mission, même si vous montez un appareil photo de 5 kg et même si vous utilisez de grosses jumelles de 125 mm. Dix couches de carbone et des composants en aluminium réalisés sur machine à commande numérique font de ces trépieds des multitalents de grande qualité qui, entièrement déployés, sont un véritable plaisir. Avec une capacité de charge de 20 à 50 kg, ils ne craignent pas la légère brise qui pourrait souffler.

Nous avons testé le trépied Omegon Pro Carbon 40 avec une monture à fourche massive et avec les grosses jumelles Brightsky d’Omegon. Avec cette assise robuste d’un trépied, il est facile de se laisser emporter vers le ciel étoilé.

Die Omegon Neptune Montierung auf dem Omegon Carbonstativ

Une monture à fourche et de grosses jumelles lourdes : les porter constitue une mission idéale pour le trépied en carbone. Une combinaison stable pour que vous puissiez profiter de l’objet sans vibrations.

Les avantages d’un seul coup d’œil :

– Trépieds robustes avec jambes de 32 ou 40 mm, en fibres de carbone, pour une observation sans vibrations et, en même temps, un transport facile
– Supportent en maîtres les appareils photo, longues-vues et grosses jumelles de grand poids
– Pointes en acier et pieds en caoutchouc : le maintien qui convient, sur n’importe quelle surface
– Grande hauteur : observez à une hauteur agréable à travers les jumelles et dites adieu aux maux de dos
– Des trépieds pour l’avenir, dont vous ne voudrez plus vous défaire

Pour en savoir plus sur ces élégants et robustes trépieds Omegon ProCarbon 32 et Omegon ProCarbon 40, reportez-vous à nos pages Produits.