Monoculaire 10x25 Mono

Le premier chiffre de la désignation des jumelles représente le grossissement. Il indique de combien de fois un objet sera grossi par rapport à ce que l’œil nu peut voir.

C’est le faisceau lumineux qui sort de l’oculaire. La pupille de sortie est étroitement liée à l’intensité lumineuse des jumelles.

Les bonnettes se trouvent sur les oculaires et protègent la vision contre la lumière parasite.

On distingue différents types de verre. L’utilisation de verre de qualité spécifique, permet d’optimiser l’image optique.

Les optiques étanches à l’eau sous pression sont munies de joints spéciaux et comportent une charge de gaz. Il s’agit le plus souvent d’azote ou d’argon. Ces gaz étant plus lourds que l’air, ils ne peuvent s’échapper.

Ces oculaires ont un dégagement oculaire relativement important. On peut ainsi porter ses lunettes lorsque l’on observe et bénéficier malgré tout d’une bonne vision.

Sur ces modèles, la boussole s’affiche majoritairement dans une petite partie du champ de vision. On distingue les modèles numériques et les modèles manuels.

Champ visible, en mètres, qui peut être vu à une distance de 1 000 mètres. Cette indication est souvent plus parlante qu’une indication en angle.

La plupart des jumelles ont un revêtement en caoutchouc qui les protège et les rend par ailleurs plus ergonomiques.

Vous êtes fasciné par les étoiles mais vous ne voulez pas installer tout de suite un télescope ? Beaucoup de jumelles vous permettent cependant d’entrer dans le monde de l’astronomie.

Merle, grive, pinson ou étourneau ?
Les jumelles sont une aide considérable pour localiser un oiseau et l’identifier.

Même les « vieux marins » utilisaient déjà des lunettes pour s’orienter en haute mer. Parfois, les jumelles modernes comportent même une boussole et un réticule pour évaluer la distance.