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À nouveau disponible : caméra d’autoguidage StarAid Revolution

27.06.2023, Stefan Taube

Caméra d’autoguidage autonome StarAid Revolution

De nouveau en stock dès aujourd’hui et ce, dans la dernière version C : la caméra d’autoguidage StarAid Revolution

La toute dernière version, la révision C, se passe de tout diviseur (splitter), car l’alimentation électrique et la transmission des données se font toutes deux via un port USB-C.

Quelles sont les performances de la caméra StarAid Revolution ?

La StarAid permet la commande automatique du suivi de votre monture astronomique et ce, sans ordinateur portable ni PC additionnel. Ainsi, vous avez la possibilité de prendre des photos à longue exposition d’objets célestes peu lumineux ! C’est ce que l’on appelle l’autoguidage.

Avec la StarAid Revolution le fonctionnement est extrêmement simple : l’autoguidage commence automatiquement dès que la caméra est raccordée à l’alimentation électrique. Il suffit de pointer le télescope vers n’importe quel point du ciel pour que la StarAid trouve plusieurs étoiles permettant d’assurer le suivi.

Utilisez en outre l’appli StarAid et le WLAN intégré pour vous ouvrir d’autres perspectives intéressantes :

  • Alignement de la monture extrêmement simple
  • Initialisation de la monture par plate-solving (« reconnaissance du ciel »)
  • Guidage d’objet spécial pour les comètes : créez des images à longue exposition de ces corps célestes éphémères !

StarAid Revolution fonctionne au mieux avec une lunette guide à distance focale faible, comprise entre 100 et 150 millimètres, telle que l’UltraGuide MKII 32 mm par exemple.

Vous trouverez de plus amples informations sur la caméra StarAid Revolution ici dans la boutique.

Enfin disponible ! L’eVscope de Unistellar peut être commandé dès aujourd’hui.

24.04.2020, Elias Erdnüß

L’eVscope Unistellar est un télescope de Newton assisté par ordinateur placé sur une monture azimutale GoTo.

 

Après des années de développement, le très attendu eVscope de la start-up française Unistellar fait enfin son apparition sur le marché ! Auparavant réservé aux premiers soutiens de la fructueuse levée de fonds sur Kickstarter, il est désormais disponible à la vente dans l’Astroshop.

L’eVscope simplifie l’utilisation et optimise les fonctionnalités d’un télescope classique. Ainsi, l’accès à cette activité fascinante qu’est l’astronomie amateur est facilité au maximum.

Grâce à l’empilement en direct, l’eVscope dévoile les formes et les couleurs des nébuleuses et galaxies.

Contrairement à un télescope classique, l’image du système optique n’est pas visualisée directement, mais enregistrée par un capteur très sensible. L’image est ensuite traitée par un ordinateur intégré et . Le télescope peut emmagasiner la lumière pendant une longue période de temps (empilement en direct), et générer une image à même de révéler les formes et couleurs des nébuleuses et des galaxies de faible luminosité ! Avec des télescopes purement optiques de cette taille, ces objets ne peuvent généralement pas être détectées.

Avec l’eVscope, un capteur enregistre le ciel nocturne. L’image peut être visualisée sur un smartphone ou l’écran OLED à fort contraste de l’oculaire électronique (Live Projection System).

L’ordinateur intégré et interconnecté facilite considérablement l’utilisation de l’eVscope : le télescope calcule sa position exacte (étalonnage astrométrique) à partir des étoiles visibles. Les moteurs intégrés peuvent ainsi s’approcher avec précision de n’importe quelle cible d’observation souhaitée. Contrairement aux télescopes GoTo classiques, vous n’avez pas à vous préoccuper de la saisie fastidieuse des coordonnées GPS et de l’heure, ni de l’alignement sur les étoiles, qui peut s’avérer particulièrement complexe pour les débutants. Démarrez l’appareil et en route pour l’aventure !

Une application installée sur votre Smartphone vous permet de télécommander votre eVscope. Cliquez ici pour en savoir plus !

LPI-G : Caméras planétaires et de guidage de Meade

27.11.2018, Stefan Taube

 L’abréviation LPI-G signifie Lunar, Planetary Imager & Guider. Ces caméras de Meade sont adaptées pour photographier le soleil, la Lune et les planètes. Même les petits télescopes supportent ces caméras légères, en toute sécurité. Elles sont montées sur le télescope comme un oculaire et connectées à l’ordinateur portable, via USB.

Meade-LPI-G-LifeStyle1

La livraison comprend le logiciel Meade SkyCapture. Son emploi est intuitif et il permet l’utilisation d’autres programmes via l’interface ASCOM. Grâce à la prise ST-4, les caméras peuvent également très bien être utilisées en autoguidage, c’est-à-dire pour contrôler le suivi d’une monture.

La version standard de la série LPI-G dispose d’un capteur de 1,2 mégapixel. La caméra LPI-G Advanced offre une plage dynamique plus large, un capteur de 6,3 MP et une cadence élevée de 59 images par seconde. Pour gérer ce flux de données, elle possède un port USB 3.0.

La version standard bon marché convient très bien aux débutants qui souhaitent acquérir une première expérience. Le modèle Advanced va bien au-delà et permet un usage intensif et dans la durée dans le domaine de la photographie planétaire.

Les deux versions sont disponibles en caméras noir et blanc ou couleur. Les caméras noir et blanc ont l’avantage d’une sensibilité et d’une résolution plus élevées. Cependant, le coût d’une image couleur sera plus élevé : vous aurez besoin de filtres colorés et d’une roue à filtres.

Vous trouverez tous les modèles de la série LPI-G chez nous dans Astroshop.

Le nouveau capteur Sony Exmor R : quels avantages pour les astrophotographes ?

26.03.2018, Marcus Schenk

« Là où il y a beaucoup de lumière, l’ombre est plus noire. »

C’est au célèbre Johann Wolfgang von Goethe que l’on doit cette phrase. Lorsque qu’il écrivit ces lignes, personne ne connaissait les appareils photo et les caméras numériques. Sans aucun doute, pour ce grand poète, c’est une toute autre vérité qui se cachait derrière ces mots.

Pourtant : cette phrase s’applique si bien aux capteurs des caméras astronomiques, que nous avons choisi d’y faire référence ici.

Mais de quoi est-il ici question ? Et pourquoi cette citation ne s’applique-t-elle plus aux caméras dotées des nouveaux capteurs Exmor R ? Nous y reviendrons par la suite.

Caméras de ToupTek 100% plus sensibles

Voilà une nouvelle que réjouira nombreux astronomes amateurs : les caméras ToupTek sont désormais jusqu’à 100% plus sensibles (source : Sony), que les anciennes caméras CMOS traditionnelles. En effet, la technologie des capteurs a connu de grands bouleversements ces derniers temps. En bref : le nouveau capteur Exmor R permet de récupérer sur la puce, encore plus d’informations sur l’objet lors d’expositions plus courtes.

Les caméras de ToupTek sont déjà équipées de ces tous derniers capteurs : découvrir les caméras.

On préférait encore les capteurs CCD quelques années auparavant. Ces derniers présentaient beaucoup moins de parasites, étaient sensibles et permettaient de voir plus de détails. Puis les capteurs CMOS ont été perfectionnés. On obtint une transmission des données plus rapide et une numérisation ultra rapide. Avec nettement moins de parasites, cette technologie devint intéressante pour l’astronomie.

On appelle aussi ces capteurs CMOS, capteurs à illumination frontale. Et voilà comment la phrase de Goethe « Là où il y a beaucoup de lumière, l’ombre est plus noire. » prend ici tout son sens. Elle renvoie en effet à l’architecture de la puce.

Der Front-Illuminated Sensor: Lichtstrahlen treffen auf den Sensor, werden aber zum Teil abgelenkt.

Les capteurs CMOS « classiques »

Les capteurs à illumination frontale se composent de nombreux éléments par lesquelles les photons lumineux doivent passer avant d’arriver et tomber dans les pixels.

Ces photons passaient d’abord par les microlentilles, puis les filtres colorés et enfin l’électronique. Cette dernière était placée par le haut sur la puce. Or on trouve ici des pistes aluminium, des fils et des transistors. Les photons doivent aussi les passer. Ce n’est qu’à ce moment que la lumière atteint le pixel.

Cette électronique agit cependant comme un projecteur d’ombre. C’est un peu le même problème que sur les télescopes avec de grands miroirs secondaires. Une partie de la lumière est absorbée et déviée.

Certains photons ont même aucune chance. Ils sont bloqués ou simplement reflétés par le fil métallique. La conséquence est inévitable : moins de lumière arrive.

Sony a réfléchi à ce problème pour trouver comment rendre les puces actuelles plus sensibles. L’entreprise a finalement eu une idée géniale qui fait désormais son entrée dans les nouvelles caméras astronomiques : les capteurs CMOS BSI (à éclairage par l’arrière).

 

Les nouveaux capteurs BSI de Sony

Sony a passé les capteurs au crible pour finalement choisir de les construire complètement autrement. Les photons passent désormais au travers des microlentilles puis des filtres colorés. Jusque-là rien d’inchangé : pour par la suite, et voilà la grande différence, ils atteignent immédiatement les pixels.

L’électronique, les fils et les transistors sont désormais placés derrière. Les photons atteignent ainsi les cellules photo sans aucune déviation. Le substrat de silicium est ainsi éclairé par l’arrière au lieu de l’être par l’avant. Un autre avantage est la technologie STARVIS, un groupe secondaire des capteurs Exmor R, qui rend les capteurs encore plus sensibles. Cette technologie déploie notamment tous ses atouts lorsqu’il n’y a pas beaucoup de lumière.

Grâce aux nombreux perfectionnements, les capteurs Exmor R deviennent extrêmement rapides, tout en réduisant nettement les parasites et en doublant leur sensibilité (source : Sony). Ils sont en outre dotés d’une transmission élevée dans les infrarouges proches.

La recherche utilise cette technologie depuis déjà longtemps. Mais jusqu’ici, le prix de telles caméras était vraiment astronomique. Avec la chute considérable des prix, ces capteurs CMOS gagnent désormais les amateurs.

Quels sont leurs avantages concrets pour vos photos astronomiques ?

  • Plus de lumière en moins de temps
  • Des expositions plus courtes réduisant les problèmes avec la poursuite
  • Possibilité de photographier les galaxies et les nébuleuses avec des caméras non refroidies
  • Fréquence d’image extrêmement élevée pour des images des planètes encore plus nettes
  • Haute sensibilité sur les infrarouges proches pour les images de Mars et de Vénus
  • Possibilité de réaliser des vidéos live d’objets célestes lumineux

Conclusion :

Les nouveaux capteurs BSI de Sony offrent de toutes nouvelles possibilités très intéressantes aux astrophotographes. Grâce aux coûts réduits, les prix restent abordables : le tout pour réaliser de belles astrophotos à moindre effort. Encore mieux : Les caméras de ToupTek sont déjà équipées de ces tous derniers capteurs. Nous pourrions ainsi dire : « là où il y a beaucoup de lumière, elle reste. » Du moins pour ces nouvelles caméras.

P.S. :

Si vous souhaitez profiter des nouvelles caméras : suivez-nous.

La nouvelle ATIK Horizon est déjà disponible !

20.03.2018, Elias Erdnüß

La nouvelle astrocaméra très prometteuse Horizon d’Atik est désormais disponible. Disponible en couleurs et monochrome, cette caméra CMOS à refroidissement actif avec le logiciel Infinity Live Stacking inclus, est parfaite pour bien commencer l’astrophotographie. Dans le même temps, cette caméra performante est dotée de toutes les fonctions avancées pour les astronomes amateurs avertis. Si vous envisagez de vous lancer dans ce loisir passionnant qu’est l’astrophotographie, cette caméra vous offre tout ce dont vous avez besoin, et ce bien au-delà du seul niveau débutant.

Elle est dotée du capteur CMOS MN34230 16 mégapixels de Panasonic. Grâce à une diagonale active de 22 mm pour la puce, la surface du capteur est comparable au format APS-C largement répandu des appareils-photos réflex. Ce grand capteur associé à une forte densité de pixels est un avantage décisif par rapport à la caméra Atik Infinity très appréciée et dans le même ordre de prix. La réduction considérable des parasites sur les puces modernes CMOS associée au refroidissement actif, rendent la caméra Horizon idéale pour photographier le ciel noir.

Si vous êtes déjà expérimenté en astrophotographie avec un appareil-photo réflex, la caméra Atik Horizon est parfaite pour passer à une astrocaméra. Le refroidissement actif réduit non seulement nettement les parasites du capteur, il garantit une température du capteur stable. Fini les prises sombres pour calibrer la caméra, vous profitez ainsi complètement du temps d’observation. Le refroidissement permet de toujours régler la même température du capteur, même le jour, et collecter ainsi des heures d’images noires utilisables.

Cependant cette caméra ne convient pas à la prise des planètes par ex. selon le procédé Lucky-Imaging, car elle ne permet de prendre qu’environ une image par seconde. Si vous cherchez une caméra spécialement pour les planètes et grâce à laquelle vous pouvez prendre de nombreuses images par secondes, tournez-vous vers les modèles de ToupTek ou The Imaging Source.

Grâce à ses astrocaméras CCD haut de gamme, la société Atik Cameras Limited a su clairement se positionner sur ce marché au cours de ces dernières années. Avec ce premier pas vers la technologie très évolutive CMOS, elle propose une caméra qui convient à la fois aux débutants et aux pros.

Imaging Source présente de toutes nouvelles caméras astronomiques : la série Signature.

02.03.2018, Elias Erdnüß

Nous proposons dès aujourd’hui la toute nouvelle série Signature du fabricant de caméras, The Imaging Source. Depuis plus de 20 ans, cette entreprise fabrique des caméras professionnelles dédiées avant tout aux applications industrielles. Leurs produits connaissent cependant un grand succès dans les secteurs médicaux et scientifiques. Ces caméras proposent ainsi des standards qualitatifs haut de gamme.

En 2007, The Imaging Source présentait sa première série de caméras qui s’adressait à l’astronomie. Très rapidement, le fabricant jouit d’une grande notoriété auprès des astronomes et astrophotographes amateurs car ces caméras haut de gamme produites restaient néanmoins abordables.

Au cours de ces dernières années, la marque se fit plus discrète dans le secteur astronomique. Les autres fabricants prirent le dessus et présentèrent chaque année de nouveaux produits. Avec le perfectionnement ultra rapide et continu des technologies numériques, les anciens modèles perdirent en intérêt. The Imaging Source continua cependant de produire des caméras astronomiques : parmi les plus connues, les modèles NexImage et Skyris de la marque Celestron ont été fabriqués dans le cadre d’une coopération entre les deux sociétés.

Finalement The Imaging Source présenta sa propre nouvelle série de caméras dédiée à l’astronomie ! La série Signature se distingue par son excellente solidité, rien d’étonnant quand on sait que le fabricant satisfait une clientèle industrielle très exigeante en matière de qualité. La série est en outre dotée de la technologie de pointe CMOS. Aujourd’hui on ne peut plus affirmer que seuls les capteurs CCD conviennent à l’astronomie. En effet les capteurs CMOS qui se caractérisent par leurs faibles parasites et leur haute sensibilité, remplacent désormais les puces CCD chez les grands fabricants de caméras. La série Signature comporte ainsi les toutes dernières puces CMOS, les Pregius et STARVIS du fabricant Sony.

Les caméras conviennent parfaitement aux prises de planètes. Elles offrent une haute fréquence d’image pour des images haute résolution non comprimées et à faible distorsion. Voilà la condition idéale pour les technologies Lucky Imaging afin de représenter tous les moindres détails qui sont captés par le télescope. Ces caméras ne conviennent cependant pas vraiment pour prendre des galaxies assez sombres ainsi que des nébuleuses. En fonction du modèle, les temps d’exposition maximums ne sont que de quelques secondes.

La large gamme de la série Signature regroupe près de 60 modèles. Chacun peut ainsi trouver la caméra qui lui correspond. Ceci ci, il est un peu difficile de s’y retrouver.

Pour vous aider, retenez ceci :

chaque caméra est proposée en trois versions : DMK, DBK et DFK. Les modèles portant le nom DMK sont des caméras monochromes. Comme elles n’ont pas besoin d’un filtre Bayer (afin d’enregistrer les informations sur les couleurs), elles sont les plus sensibles à la lumière. Les modèles DBK et DFK sont des caméras couleurs. Leur construction est identique excepté le filtre infrarouge, uniquement présent sur les caméras DFK. Comme les capteurs CMOS intégrés sont aussi très sensibles à la lumière infrarouge, vous aurez éventuellement besoin de filtrer cette dernière en fonction de vos besoins. Nombreux astronomes amateurs souhaitent cependant une caméra sensible aux infrarouges. Vous aussi ? Préférez alors les caméras DBK, elles seront parfaites.

Pour les deux modèles, il existe en outre différentes versions en fonction des ports de transmission de données : les caméras 33U offrent un port USB 3.0 afin de les raccorder à un ordinateur, et les caméras 38U. un port USB 3.1. Toutes les caméras sont alimentées en courant par le câble USB. Les caméras 33G sont dotées d’une interface Ethernet Gigabit (GigE). Cette dernière se retrouve avant tout dans les applications professionnelles de traitement d’images. Vous avez besoin pour les caméras GiGE d’une alimentation électrique complémentaire. Le bloc secteur requis ici est fourni à la livraison.

Le nom du modèle indique également la puce CMOS intégrée. Cette dernière est décisive pour la fréquence d’image et la résolution de la caméra.

Le tableau suivant vous aidera à trouver la caméra idéale :

Vous vous intéressez à une nouvelle caméra haut de gamme et ultra moderne spéciale planètes, alors n’hésitez plus et jetez un œil à la série Signature.

Touptek : quelle est caméra choisir ? Découvrez la caméra qui vous convient le mieux en un coup d’œil.

23.02.2018, Marcus Schenk

Imaginez la situation suivante : à la recherche de la bonne caméra.

Perplexe, l’astronome amateur reste figé face aux centaines de caméras proposées. Il peine à mémoriser leurs caractéristiques techniques, jusqu’à se retrouver complètement dans le brouillard. Mais quelle caméra doit-il acheter ? Pourquoi passer tout son temps à chercher sa caméra idéale alors qu’il veut prendre des belles photos au plus vite.

Cet article vous donne deux aides afin de vous à choisir rapidement la bonne caméra ToupTek- qui vous correspond le mieux.

 

Das Touptek Kamera-Sortiment

1. Une vue d’ensemble graphique

L’offre en caméras ne cesse de croître. Comment garder une bonne vue générale ?

Taille du capteur, tailles en pixels ou résolution, il ne s’agit ici que de quelques-unes des données décisives. Encore faut-il comparer chaque caractéristique une à une pour chaque caméra.

Puis il reste cette question : adaptée aux planètes, Deep-Sky ou seulement comme guide ?

Ne peut-on pas faire beaucoup plus simple ? Et oui, nous aussi nous nous sommes posé la question pour finalement trouver une solution spécialement dédiée aux caméras ToupTek. En voici le résultat : un graphique qui vous donne à la fois une vue générale rapide et vous apporte toutes les données nécessaires. Vous évitez ainsi les va-et-vient entre les différentes caméras.

Que trouvez-vous encore dans ce graphique ?

Taille du capteur : en un coup d’œil, découvrez la taille des capteurs de dix caméras. L’encadré s’ajuste en fonction.

Références d’articles : retrouvez la référence d’article pour chaque capteur à côté du nom de la caméra. Une caméra vous intéresse ? Entrez simplement directement le numéro dans la fonction de recherche de notre boutique.

Carrés en couleurs : dans l’encadré vous voyez trois petites cases colorées et/ou une case noire et blanche. Vous l’avez bien sûr compris : les cases indiquent si la caméra est disponible en couleurs et/ou en monochrome.

Nombre sous le capteur : il indique le nom du capteur comme par ex. IMX178 ou AR0130.

Taille en pixels (mircon) et images par seconde (fps) : les caméras ont été réparties dans un diagramme ordonné XY. Vous voyez ainsi immédiatement si une caméra a des grands ou des petits pixels et si le nombre d’images pris par seconde est très bas ou très élevé. Taille du capteur, taille en pixels et fps : il s’agit ici de données essentielles dans le choix de la caméra la mieux adaptée à vos besoins.

Planétaire, longueur focale, guidage : les trois barres en couleurs sur le rebord vous indiquent l’application idéale ou le télescope le mieux adapté pour cette caméra. Plus la barre est colorée, plus la caméra correspond à cette application. Ces barres vous montrent immédiatement quelles caméras vous conviennent le mieux.

Exemple : une fréquence d’image élevée convient particulièrement à la prise de planètes alors qu’une très grande puce n’est pas vraiment adaptée à un simple guidage. La taille de puce et en pixels vous indique la focale adaptée du télescope.

2. Comment différencier les tailles de capteurs ?

Les tailles des capteurs des caméras Touptek s’étendent de 4,8 mm x 3,6 mm, au grand capteur de 20MP avec 13 mm x 8,7 mm.

Pour prendre les planètes et le guidage, préférez les petits capteurs, alors que pour prendre la lune lointaine ou encore des objets sombres, vous avez besoin d’un plus grand champ.

Cependant, cela reste difficile de s’imaginer les différentes tailles, mais c’est néanmoins essentiel avant l’achat. C’est pourquoi nous vous avons préparé un graphique que nous avons projeté sur la galaxie NGC247.

Vous voyez différents cadres avec les numéros de produits sur ce dernier. Bien mieux qu’une explication, découvrez par exemple vous-même à quel point la caméra ToupTek EP3CMOS20000KPA Deep Sky Color est bien plus grande que la ToupTek GPCMOS1200KMB Mono Guider.

 

 

Ces deux graphiques vous aideront sans aucun doute pour votre achat. Et ce, sans aucune recherche. N’attendez plus et découvrez les pages consacrées aux caméras modernes ToupTek.

Nouveau en janvier : télescope Dobson de Taurus, apochromates de Vixen, télescopes solaires de DayStar, caméra Horizon d’Atik et une monture haut de gamme d’iOptron

12.01.2018, Stefan Taube

Cette année aussi, nous vous présentons chaque mois, une petite sélection d’articles qui ont rejoint récemment notre gamme de produits :

 

  1. Télescope Dobson N 304/1500 T300 de Taurus

Taurus T300

Les télescopes de Taurus complètent désormais notre gamme de produits. Le Dobson T300 avec une ouverture de douze pouces est le premier modèle que nous souhaitons vous présenter. D’autres modèles suivront dans les prochains jours. Le télescope Dobson T300 est doté d’un tube en treillis. Il se transporte ainsi très facilement et se démonte en un rien de temps sans aucun outil. L’ensemble du système ne pèse que 15,9 kilogrammes et la partie la plus lourde, seulement 9,6 kilogrammes.

Contrairement à la photo, le télescope est fourni sans chercheur ni oculaire. Il est livré cependant avec un pare-soleil ainsi qu’un porte-oculaire Crayford de 2’’ haut de gamme.

Les télescopes Dobson de Taurus sont conçus et fabriqués en Pologne. Nous sommes heureux de pouvoir vous proposer dès aujourd’hui ces télescopes !

 

  1. Réfracteur apochromatique AP 81/625 SD81S de Vixen

Vixen SD81S

Pour ceux qui préfèrent prendre des photos au lieu d’observer et découvrir le ciel nocturne, nous recommandons de travailler avec un apochromate. Le fabricant japonais Vixen propose trois nouveaux modèles avec des lentilles de différents diamètres : SD81S, SD103S et SD115S.

La nouvelle lentille avec un verre FPL-53 réduit les erreurs de couleurs (aération chromatique) à un niveau quasiment plus perceptible, et garantit ainsi une image extrêmement claire et nette ! Ces trois apochromates conviennent parfaitement pour la photographie plein cadre avec des appareils photos hybrides.

 

  1. Télescope solaire ST 60/930 SolarScout Carbon H-Alpha chromosphère de DayStar

DayStar SolarScout 60

La société américaine DayStar est spécialisée dans les instruments d’observation du soleil. Avec son SolarScout 60, DayStar complète sa gamme de télescopes solaires de la série SolarScout. Un filtre H-Alpha QUARK est intégré au télescope.

Vous obtenez ici un télescope avec une optique, un étalon de filtre et une mise au point hélicoïdale parfaitement harmonisés afin d’observer et de photographier le soleil dans les rayons H alpha sans danger !

Grâce à son tube en carbone, vous pouvez placer les télescopes SolarScout sur une petite monture. Le chercheur solaire intégré vous aide à pointer confortablement et sans risque l’optique sur le soleil.

 

  1. Caméra Horizon Mono d’Atik

Atik Horizon

Il s’agit de la première caméra d’Atik qui soit équipée d’un capteur CMOS – l’avenir de la technologie des capteurs. Il s’agit du Panasonic MN34230 avec 16 mégapixels. La faible taille des pixels de 3,8 µm garantit une haute résolution et rend la caméra intéressante pour les apochromates et les objectifs photo. Le refroidissement intégré permet de refroidir la caméra à 40°C en-dessous de la température ambiante. Associée à une électronique à faible parasite et à une connexion USB 3.0, la caméra Horizon d’Atik se dédie aux prises des nébuleuses faiblement lumineuses exigeant de longues expositions.

Comme la caméra Infinity d’Atik, la caméra Horizon d’Atik est idéale pour le « Live-Stacking ». Cette tendance importante augmente votre plaisir lors de l’astrophotographie et des évènements publiques dans les observatoires.

Nous vous proposons bien entendu la caméra Horizon d’Atik comme caméra couleur. Ce modèle couleur vous évite d’utiliser des filtres colorés.

 

  1. Monture iOptron CEM120 GoTo

iOptron CEM120

Nous avons fait d’excellentes expériences avec les montures d’iOptron au cours de ces dernières années. Déjà largement établies aux États-Unis, elles sont de plus en plus appréciées chez nous. iOptron propose désormais une monture avec une capacité de charge de plus de 50 kilogrammes, chose qui intéressera particulièrement les observatoires : la monture CEM120 GoTo.

Son design rappelle celui de la monture éprouvée CEM60 GoTo, qui supporte des charges de fois moins lourdes. La cale équatoriale au niveau du centre de gravité rend ces deux montures très stables tout en restant très légères.

Vous voulez créer un observatoire de jardin ou vous cherchez une nouvelle monture pour l’observatoire de votre association, alors jetez dans tous les cas un œil sur la monture CEM120 GoTo . Demandez-nous, nous serons heureux de vous conseiller !

Prendre le soleil avec les rayons H-Alpha à l’aide du filtre QUARK et de la nouvelle caméra ToupTek

13.10.2017, Stefan Taube

Notre employé espagnol Carlos Malagon a quasiment tous les jours un champ libre sur notre astre diurne. Il nous envoie cette photo du soleil qu’il a pris à l’aide de sa nouvelle caméra EP3CMOS02300KMC de ToupTek :

H-Alpha-SonneLa photo montre la chromosphère du soleil. Il s’agit d’une partie de l’atmosphère solaire qui se trouve au-dessus de la photosphère et qui apparait à la lumière avec une longueur d’onde de 656 nanomètres. Cette longueur d’onde est aussi appelée H-Alpha. Il s’agit d’un état particulier d’excitation de l’atome d’eau dans l’atmosphère solaire. Au bord du soleil, vous voyez une belle protubérance.

Outre la caméra de ToupTek, Carlos Malagon utilise le filtre H-Alpha QUARK de DayStar ainsi que le Pro Apo 80/500 d’Omegon sur la monture SkyWatcher Star Adventurer.

Cette petite monture est parfaite pour voyager. Elle porte une caméra avec une petite optique et suit avec cette dernière la rotation du ciel. La monture Star Adventurer se visse sur chaque trépied photo. Carlos Malagon utilise ici le trépied Titania 500 d’Omegon en aluminium. Vous voyez sur la photo ci-après l’ensemble de l’équipement :

Carlos_Ausrüstung

Sans oublier : comme le filtre solaire QUARK s’introduit simplement entre la caméra et le télescope dans le porte-oculaire, vous le retirez tout aussi vite. Vous pouvez alors utiliser un équipement portatif comme celui-ci afin de photographier le ciel nocturne.